À l’occasion de la sortie en kiosques de la deuxième édition du hors-série annuel Paperjam Architecture + Real Estate, sa rédactrice en chef Céline Coubray, observatrice avertie de l’habitat au Luxembourg depuis treize ans, s’est prêtée à notre interview Média:
Au fil des 300 pages, que vont pouvoir découvrir les lecteurs de ce nouveau numéro de Paperjam Architecture + Real Estate?
Dans le nouveau hors-série Paperjam Architecture + Real Estate, les lecteurs peuvent découvrir l’actualité de l’architecture et de l’immobilier à travers plus de 80 projets récents ou en cours de réalisation. Différents secteurs sont couverts: l’architecture résidentielle, l’immobilier de bureaux, les bâtiments construits pour les collectivités, mais aussi les commerces ou encore les projets d’urbanisme.
L’architecture et l’immobilier sont parmi les rares thématiques traitées par plusieurs titres de presse au Luxembourg. On pense notamment à Wunnen ou encore au tout nouveau Exzellenz. En quoi le hors-série Paperjam Architecture + Real Estate se différencie?
Paperjam Architecture + Real Estate se concentre sur l’architecture contemporaine de qualité au Grand-Duché. C’est le fruit d’une sélection de la rédaction. Nous ne nous intéressons pas à la décoration par exemple, mais à l’architecture d’intérieur, et de notre point de vue, l’architecture de qualité n’est pas nécessairement une question de budget, mais plutôt de qualité de réflexion, d’analyse, de conception et d’exécution. Par ailleurs, Paperjam Architecture + Real Estate fait partie de tout un écosystème, avec certes le hors-série annuel, mais aussi une rubrique dédiée sur paperjam.lu, une newsletter envoyée tous les 15 jours, des évènements live tout au long de l’année réalisés en collaboration avec le Paperjam + Delano Club.
Il y a deux ans disparaissait le titre dédié Archiduc pour laisser place à ce hors-série de la galaxie Paperjam. Comment s’est passée la transition, et avec quels effets sur le lectorat et les annonceurs?
Maison Moderne a choisi il y a deux ans de donner plus de force et de visibilité à sa marque média Paperjam en y intégrant d’autres marques médias propres, telles qu’Archiduc ou feu-Explorator. Archiduc existait depuis 10 ans, et c’était le bon moment pour entamer une nouvelle histoire. C’est pour cela que nous avons choisi de continuer à écrire sur l’architecture et l’immobilier, mais en développant une nouvelle formule. À notre plus grand bonheur, le lectorat nous a suivi, tout comme les annonceurs.
Le nombre d’abonnés à notre newsletter a sensiblement augmenté pour atteindre aujourd’hui plus de 14.000 abonnés.
Et encore mieux, le nombre d’abonnés à notre newsletter a sensiblement augmenté pour atteindre aujourd’hui plus de 14.000 abonnés. Paperjam Architecture + Real Estate se différencie aussi par son ciblage qui est triple: il y a bien entendu les professionnels du secteur, j’entends par là les architectes, ingénieurs-conseils, les développeurs, les constructeurs, les artisans mais aussi les institutions publiques, les fonds d’investissements ou les cabinets d’avocats; à ces professionnels, s’ajoutent les entreprises qui sont concernées par leur environnement de travail; et enfin, il y a les particuliers, les maîtres d’ouvrages ou encore ceux qui sont intéressés pour réaliser des placements alternatifs.
En parallèle à ce hors-série, l’actualité de l’architecture et de l’immobilier est traitée quotidiennement sur paperjam.lu. En termes d’audience, comment se positionne cette rubrique?
Les sujets immobilier et architecture sont plébiscités par nos lecteurs et arrivent régulièrement en tête des articles les plus lus sur notre site. C’est une actualité qui intéresse grandement notre lectorat et qui a une communauté de lecteurs fidèle et diversifiée, allant des professionnels du secteurs en passant par les décideurs politiques et économique, mais aussi tous les passionnés de la discipline ou ceux qui s’intéressent tout simplement à leur environnement bâti. Ceci peut aussi s’expliquer par le fait que l’architecture concerne chacun d’entre nous. Nous vivons au quotidien dans des immeubles, des maisons, fréquentons des espaces urbains, profitons d’infrastructures collectives, fréquentons des lieux commerciaux, ou des espaces culturels… C’est donc un sujet qui concerne potentiellement chacun d’entre nous et je ne peux que me réjouir que ces articles soient largement lus puis partagés sur les réseaux sociaux.